Mayotte : renvoyons les Comoriens aux Comores !

Un rapport appelle désormais à répartir les clandestins comoriens de Mayotte en métropole. Terrible capitulation, alors que leur pays d’origine est juste en face !

Renvoyons-les immédiatement, et employons pour cela les moyens de pression financière qui s’imposent !

Texte de l’intervention :

Le Gouvernement s’est à nouveau couvert de ridicule : impuissant à faire valoir sa volonté à l’égard des Comores, il se retrouve embourbé à Mayotte, entravé par les juges du Syndicat gauchiste de la magistrature.

Pire : un rapport parlementaire préconise désormais de répartir les migrants comoriens sur l’ensemble du territoire français – c’est-à-dire, pour parler clairement, en métropole.

Et l’un des co-auteurs de ce rapport n’est autre que Laurent Marcangeli, président du groupe « Horizons » à l’Assemblée nationale et bras droit d’Édouard Philippe.

C’est là, en synthèse, la logique calamiteuse du macronisme : son incapacité à régler les problèmes le pousse à les diluer, en les diffusant à l’ensemble du pays.

À Mayotte, nous avons été les premiers, dès les débuts de la submersion migratoire par les Comoriens, à tirer la sonnette d’alarme.

En mars 2018, Marine Le Pen et les députés du Rassemblement national ont déposé une proposition de loi visant à instaurer des mesures d’urgence en matière d’immigration et de maintien de l’ordre public à Mayotte – proposition totalement ignorée par la Macronie.

Une décision de disséminer ces Comoriens sur l’ensemble du territoire national serait une fois de plus une capitulation, un abandon, une lâcheté.

Quelle honte pour l’État, quand il suffit que des Comoriens se donnent simplement la peine de franchir les quelques dizaines de kilomètres qui séparent Mayotte des Comores, pour avoir droit à une réimplantation immédiate dans les vieux terroirs français !

Quelle odieuse absurdité que celle de transporter, aux frais des contribuables, ces clandestins vers la France sur 8000 kilomètres, alors que, de Mayotte, les Comores sont en vue !

Ce que nous voulons, c’est le renvoi pur et simple des Comoriens dans leur pays d’origine.

Ce que nous exigeons, c’est de supprimer le droit du sol.

Ce que nous réclamons, c’est de restaurer des frontières et de conditionner les aides financières que nous donnons aux Comores au retour des clandestins.

Car il existe de multiples moyens pour faire pression sur le régime de Moroni ; à commencer par son ministre des Affaires étrangères, qui touche le R.S.A. en France et a détourné plus de 200 000 euros de l’aide sociale de notre pays !

La politique, plus que jamais, dans ces temps particulièrement durs, requiert une volonté inébranlable. À Mayotte comme partout.

Ce règlement sur l’intelligence artificielle, fruit de négociations productives entre tous les groupes, nous permet aujourd’hui de maximiser l’innovation européenne, tout en limitant, pour nos compatriotes et pour la société, les risques liés à sécurité, à la confidentialité, au respect de la vie privée et à la protection contre les biais et les erreurs.

Ce texte est un premier pas, car nous ne pouvons pas nous contenter d’une politique de rattrapage. Les États-Unis et la Chine disposent déjà de système de pointe en matière d’I.A. Encadrer ne suffit pas ; il faut à présent des mesures dynamiques, pour impulser la création et le soutien à une industrie française et européenne de l’I.A.