L’Europe sert la soupe au Kosovo mafieux et criminel

L’intégration accélérée du Kosovo dans l’Union européenne, contre l’avis de 5 États membres, est un scandale. L’Europe sert la soupe au Kosovo mafieux et criminel, mais ignore les persécutions qu’y subissent les Serbes.

Le Kosovo résume la politique européenne : découpage des nations, bienveillance pour la criminalité, mépris des choix des États !

Intervention complète :

« L’intégration à marche forcée du Kosovo dans l’Union européenne est une catastrophe qui, depuis 15 ans, a déjà coûté 1,2 milliards d’euros aux contribuables européens.

Vous vous gargarisez sans cesse avec vos prétendues « valeurs de l’Union européenne », valeurs dont on sait qu’elles ne valent que quand ça vous arrange.

Ainsi, l’Union européenne a laissé, sur ordre de Washington, arracher le Kosovo à la Serbie par un coup de force international à coups de bombardements à l’uranium appauvri sur les populations serbes.
Cette même Union européenne montre aujourd’hui un vif intérêt pour l’intégration du Kosovo, en faisant de grandes phrases autour du droit à l’autodétermination pour en légitimer la sécession d’avec la Serbie.

Mais plus un mot pour évoquer le fait que le peuple serbe ait au Kosovo son berceau historique, qu’il y subsiste encore aujourd’hui une population serbe majoritaire dans le Nord, victime de marginalisation, de brimades et d’attentats : dans ce cas-là, le droit à l’autodétermination n’existe plus.

Les prétendues « valeurs de l’Union européenne » s’effondrent devant un pseudo-État criminel et mafieux, gangrené par l’islamisme, dont vous avez fait votre enfant chéri.

La libéralisation des visas au 1er janvier 2024 est le dernier cadeau que vous lui ayez fait, cadeau empoisonné pour les États membres de l’Union européenne qui subiront encore davantage la criminalité des gangs kosovars.

En plus de tout cela, vous prétendez dicter à la Serbie sa politique étrangère, ses engagements stratégiques, dans l’ignorance, le mépris et l’aversion de ce qui depuis plusieurs siècles constitue le ferment de son identité la plus profonde.

Le Kosovo, au final, incarne bien votre politique : la dissolution des nations, la bienveillance à l’égard de la grande criminalité et de l’islamisme radical, la submersion migratoire et, surtout, l’établissement de votre autocratie antinationale. »

Mes questions à la Commission européenne sur l’adhésions de la Bosnie-Herzégovine

Mes questions à la Commission européenne sur l'adhésions de la Bosnie-Herzégovine

Retrouvez mes questions à la Commission européenne quant à l’adhésion de la Bosnie-Herzégovine :
– quid du refus de la République serbe de Bosnie qui refuse d’intégrer l’UE ?
– 5 états membres de l’UE refusent la reconnaissance du Kosovo : sur quel statut lui attribuez-vous ?

Texte de mon intervention au Parlement européen : 

Les résolutions et déclarations de l’Union ne cessent par d’appeler de leurs vœux l’adhésion de pays des Balkans à l’Union européenne, y compris le territoire du Kosovo. Dans la continuité de ce souhait, le Conseil européen, le 15 décembre 2022, a accordé le statut officiel de pays candidat à l’adhésion à la Bosnie-Herzégovine. Ceci pose un double problème.
D’une part, concernant la Bosnie-Herzégovine, l’une de ses deux composantes, la République serbe de Bosnie, témoigne toujours de son hostilité catégorique au principe de l’adhésion. Quelle place la République serbe de Bosnie occupe-t-elle dans les discussions entre la Bosnie et l’Union européenne, et dans le processus d’adhésion ? Entendez-vous prendre l’avis de ses dirigeants ?

D’autre part, concernant le Kosovo, cinq États membres de l’Union européenne lui refusent leur reconnaissance officielle. Êtes-vous d’accord que cela s’oppose absolument à toute adhésion de ce territoire à l’Union européenne ? Quel est le statut juridique du Kosovo pour l’Union européenne, et sur quel fondement juridique le lui attribuez-vous ?

Autres questions pouvant être posées :

— Huit pays membres de l’Union européenne, lors du dernier Conseil européen, ont demandé à ce que soient posées des murs sur les autoroutes en provenance des pays des Balkans occidentaux, du fait de la perméabilité flagrante de ces pays par rapport au flot continu de migrants clandestins. Ne pensez-vous pas que cette initiative mérite d’être soutenue ?

— Le gouvernement du territoire dit du Kosovo persiste dans ses brimades à l’égard des populations des enclaves serbes. Comptez-vous demander aux dirigeants kosovars de changer d’attitude, et dans ce sens de les priver des fonds de l’IAP III qui se montent à près de 64 millions d’euros ?

Corruption des O.N.G. : l’arbre qui cache la forêt

Corruption ONG

La collusion et la corruption grouillent dans ce monde opaque des ONG, mais l’UE n’y fera rien, car elle en profite.

Après les différents scandales qui ont frappé les institutions européennes, je mets les technocrates corrompus face à leur contradiction !

Texte de mon intervention : 

Madame le Président, chers Collègues,
L’Union européenne, ne pouvant plus ignorer le scandale, s’interroge aujourd’hui sur les financements aux O.N.G.

Après n’avoir rien vu venir dans les rangs de sa majorité à propos du QatarGate, il était temps.
Bien sûr, les interrogations se limitent aux O.N.G. déjà publiquement compromises : hors de question de regarder plus loin, car on pourrait y découvrir bien des turpitudes.

Pas un mot non plus sur l’orientation politique souvent identique des corrompus : socialistes, fédéralistes, droit-de-l’hommistes, et, bien sûr, adversaires de notre groupe politique.

Pour combler ces lacunes, je vous invite à lire l’excellent rapport de mon collègue allemand Joachim Kuhs sur le financement des O.N.G. par l’Union européenne.

 

Ce rapport montre comment l’Union européenne a sous-traité sa politique aux O.N.G., utilisées comme agents d’influence, à tel point qu’on peut parler d’« organisations quasi-gouvernementales ».

L’Union européenne a recours à ces O.N.G., qu’elle appelle « société civile », par préférence aux autorités nationales.

Et ce, paradoxalement, parce que les autorités publiques seraient « orientées », voire « corrompues », dit-elle, alors que les O.N.G. seraient, elles, « indépendantes » !

Quel comble, quand on voit quelle idéologie et quelle corruption y règnent !

Ainsi les O.N.G. du célèbre George Soros ont-elles reçu plus de 25 millions d’euros.

Plus grave encore, le soutien financier à des O.N.G. proches des islamistes :

— Par exemple, 550 000 € donnés au Secours islamique en Allemagne, lié au Hamas, au Hezbollah et aux Frères musulmans ;

— Ou encore, 1,16 million d’euros donnés au « Réseau européen contre le racisme », dont le directeur a été membre des Frères musulmans jusqu’en 2008.

La collusion et la corruption grouillent dans ce monde opaque des O.N.G., mais l’Union européenne n’y fera rien, car elle en profite.