Jean-Lin Lacapelle, à propos du passeport vaccinale.
Emmanuel Macron choisit la brutalité et impose la quasi-vaccination obligatoire. C’est ce même homme qui, le 29 avril, affirmait que l’accès aux restaurants et lieux de culture ne serait jamais conditionné à la présentation d’un « pass ».
Il choisit la division, nous la cohésion !
Intervention complète de Jean-Lin Lacapelle
Mes chers Compatriotes,
Les élus du Rassemblement national au Parlement européen avaient dénoncé le Certificat sanitaire. Ils avaient raison. Emmanuel Macron, en dépit de ses promesses, a fait bien pire, en le transformant en quasi-pass’ vaccinal.
Lundi soir, dans un exercice de pression habituel, il a menacé et infantilisé les Français, ne craignant pas de désigner comme ennemis publics toute une partie de la population, ceux-là même qui ont fait tant de sacrifices depuis dix-huit mois, victimes de la mauvaise gestion de l’épidémie par le Gouvernement.
Aujourd’hui, Emmanuel Macron impose la vaccination obligatoire. C’est ce même homme qui, le 29 avril, affirmait que l’accès aux restaurants et lieux de culture ne serait jamais conditionné à la présentation d’un pass’.
Que les choses soient claires : au Rassemblement national, nous sommes pour la vaccination, mais contre la vaccination obligatoire.
Emmanuel Macron, lui, choisit la brutalité en imposant le pass’ sanitaire pour l’accès à tous les lieux de culture, et, à partir du mois d’août, aux restaurants, bars et centres commerciaux pour tous ceux qui ont plus de douze ans.
Quant aux soignants, Macron préfère les contraindre plutôt que de les convaincre. Hier, ils étaient célébrés en héros, eux qui avaient commencé cette crise sans gants ni masques, et qui, en guise de blouses, portaient des sacs poubelles.
Ils sont menacés, aujourd’hui, de licenciement s’ils ne se vaccinent pas.
Macron, c’est en quelque sorte la violence tranquille !
Pas un mot sur les traitements, qui permettraient de rassembler plutôt que de diviser, et qui ranimeraient un espoir dans la population.
Pas un mot non plus sur les investissements dans la santé, rien pour régler le problème de saturation hospitalière.
Alors, en cette période de Quatorze Juillet, date à laquelle le peuple français, derrière son Armée, se réunit pour célébrer les valeurs qui le font vivre, Emmanuel Macron divise nos compatriotes et les discrimine. Assez de ce Gouvernement dont le maître mot est la division, alors que la France a besoin de raison, de modération, et de cohésion.