Nous serons toujours vent debout pour défendre notre liberté d’expression !
Le retour de la censure en Europe ? C’est ce que préconisent les dirigeants européens car la crédibilité de leur UE ne peut survivre que par la coercition idéologique.
Texte de l’intervention :
L’Union européenne, appuyée en France par ses fidèles supplétifs de la Macronie, nous fait entrer dans l’univers de la société totalement contrôlée de 1984.
En effet, à la suite de la décision de Twitter de quitter le « Code de bonnes pratiques de l’Union européenne contre la désinformation en ligne », le commissaire européen Thierry Breton affirmé que « les obligations de Twitter demeurent ».
On peut à ce propos s’interroger sur la validité d’un « Code de conduite contre la désinformation ». Le droit à l’information n’est-il pas un principe absolu ? La prétendue « désinformation » n’est-elle pas, le plus souvent, rien d’autre qu’un prétexte à la diabolisation et à la censure de la vision politique d’un adversaire ?
Au nom de quoi l’Union européenne et ses technocrates dépourvus de toute légitimité démocratique entendent-ils formater notre pensée et nos convictions ?
Parce que la crédibilité de l’Union européenne, aujourd’hui largement entamée, ne peut survivre que par la coercition idéologique !
Ainsi, l’Union européenne pourrait à loisir choisir les messages et les informations qui seraient recevables et celles qui ne le seraient pas.
Mais, plus grave encore, l’obscur Secrétaire d’État au Numérique, Jean-Noël Barrot, n’a pas hésité à se dire prêt à interdire Twitter dans l’Union européenne, et donc en France.
Quel scandale ! Quelle régression ! Quel retour de la censure !
Tous ces stratagèmes fumeux n’ont en réalité qu’un seul objectif : interdire l’expression des idées nationales et patriotes, qui deviennent aujourd’hui majoritaires, en France comme ailleurs dans l’Union européenne.
Longtemps, les médias et l’Union européenne ont menti et caché l’invasion migratoire, l’effondrement de notre pays dans la précarité, l’ensauvagement de nos sociétés. Tout le monde reconnaît aujourd’hui que c’est le Rassemblement national qui disait la vérité.
Alors, nous continuons à la dire, et nous sommes, plus que jamais, vent debout contre cette offensive sans précédent contre nos libertés !