Le nouveau projet sur l’immigration et l’asile n’a qu’un but : accélérer encore la submersion migratoire.
Nous réclamons au contraire : durcissement des critères de l’asile, dépôt des demandes dans les pays d’origine, exclusion de Schengen et référendum sur l’immigration !
Texte de mon intervention :
Le 8 juin 2023, les ministres de l’Intérieur des États membres de l’Union européenne ont décidé, malgré plusieurs oppositions, d’adopter le nouveau projet européen sur l’immigration et l’asile. Et, ironie dramatique du calendrier, cela le jour même où un migrant syrien demandeur d’asile attaquait sauvagement des enfants dans leurs poussettes à Annecy. Quelle honte ! Quelle horreur !
Le texte européen qui se prépare n’a qu’un but : accélérer encore la submersion migratoire, en forçant, notamment, les États membres à se répartir les migrants qui demandent l’asile, sous peine d’une amende de 20 000€ par migrant !
À l’heure où l’immigration explose et où 96 % des déboutés du droit d’asile demeurent en France clandestinement, ces exigences sont intolérables, et mènent à des situations démentielles. Prenons l’exemple récent du criminel au couteau d’Annecy : l’asile avait été accordé à ce monstre, non pas une, mais trois fois, dans trois pays européens différents, et il était en France pour le demander à nouveau !
Cette folie doit prendre fin. Il faut urgemment, comme le réclame le Rassemblement national, que les demandes d’asile soient déposées auprès des consulats et ambassades de France dans les pays d’origine des migrants.
Nous réclamons que les migrants qui auront reçu le statut de réfugié dans un pays de l’Union européenne ne puissent pas circuler en dehors de ce pays sans visa, car l’Espace Schengen doit être réservé aux ressortissants des États membres.
Nous réclamons un durcissement des critères et les contrôles des demandes d’asile, pour filtrer impitoyablement, comme le droit le permet, les tricheurs et les criminels qui abusent de la noblesse d’âme de notre pays.
Nous réclamons, enfin, que l’on rende la parole au peuple, en lançant, comme Marine Le Pen s’y est engagée, un référendum national sur l’immigration, qui permette aux Français d’exprimer et d’imposer directement leur volonté, afin de protéger nos nations, nos familles et nos enfants.