Face à la crise du pouvoir d’achat, désignons les responsables.
Arrêtons l’immigration massive, augmentons les salaires, baissons les taxes et chassons les spéculateurs !
Retrouvez mon intervention d’hier au Parlement européen.
Mon intervention complète au Parlement :
Madame le Président, chers Collègues,
Face à la crise, établissons en premier lieu les responsabilités.
Dans l’immédiat, c’est la guerre en Ukraine, et aussi les sanctions écervelées sur l’énergie dont tout le monde savait quel désastre économique elles allaient provoquer.
Et, plus anciennement, c’est le néolibéralisme, le libre-échangisme, le mondialisme, et son cortège de délocalisations et d’inflation financière.
Mais, tout cela, Collègues, c’était la politique de l’Union européenne, bien avant 2022 !
À présent, les solutions.
Cessons, tout d’abord, au contraire d’Ursula Von der Leyen, de vouloir entretenir le dramatique conflit en Ukraine.
Plus vite la paix sera trouvée, mieux cela sera.
Il est également urgent de corriger un régime de sanctions absurde qui ne nuit qu’à l’Europe et aux Européens.
Parlons ensuite des salaires.
Par l’immigration de masse, à l’image du projet de loi de régularisation massive qui se dessine en France, les gouvernements européens entretiennent délibérément une pression à la baisse sur les salaires.
Il faut y mettre fin.
En outre, depuis longtemps, le Rassemblement national propose une revalorisation du salaire réel de 10 % grâce à une exonération de charges.
Il propose également d’aider les ménages dans le besoin, en abaissant la T.V.A. à 5,5 % sur les énergies, et en la supprimant sur 100 produits de première nécessité.
S’il faut, enfin, faire cesser la spéculation, alors oui !
Attaquons-nous aux spéculateurs qui jouent sur les cours des matières premières.
Mais aussi à ceux, tel Georges Soros, qui deviennent multimilliardaires en spéculant sur le cours des monnaies, entraînant les pays dans l’austérité et les peuples dans la pauvreté.
Mais il est vrai que Soros et ses réseaux infestent les institutions européennes, dont l’actualité nous montre que la corruption y sévit.
Alors oui, augmentons les salaires !
Mais alors arrêtons aussi l’immigration de masse, et traquons les profiteurs de crise !