Non, Mme Ursula von der Leyen, il ne peut pas y avoir de solution armée au conflit en Ukraine.
Il y aurait à coup sûr une seule grande perdante : l’Europe, la nôtre, celle des Nations, des peuples, dont l’UE mondialiste, immigrationniste et vassale des USA 🇺🇸 est la négation permanente.
Décidement, le conflit en Ukraine, que nous devons avant tout déplorer est, pourtant, une aubaine pour les élites européistes.
Ce conflit doit s’arrêter par la seule voie possible, celle de la négociation.
Et je salue, en ce sens, la proposition de Marine Le Pen qui appelle à une grande conférence pour la paix.
En France, d’autres voix s’élèvent enfin pour nous expliquer que l’application des Accords de Minsk II aurait pu nous éviter cette tragédie.
Deux anciens ministres de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, Luc Ferry et Pierre Lellouche, se sont d’ailleurs très clairement exprimés dans cet esprit récemment.
Non, Mme Von der Leyen, il ne peut pas y avoir de solution armée à ce conflit.
Car si l’issue en serait incertaine, il y aurait à coup sûr un seul grand perdant : l’Europe, la nôtre, celle des Nations, des peuples, dont l’Union européenne mondialiste, immigrationniste et vassale des États-Unis est la négation permanente.
Mais sans doute, du côté de la Commission ou dans ces travées, certains préfèrent une bonne guerre à une mauvaise paix…
Pourtant, la paix n’a pas de prix.
Et puisqu’on parle de prix, l’Ukraine ne doit pas être le prétexte d’un nouvel impôt européen.
Puisque les Européens doivent, paraît-il, comme partout dans le monde, avoir vocation à payer des dégâts dont ils ne sont pas à l’origine.
Le président ukrainien a lui-même estimé le montant de la reconstruction de son pays à 55 milliards d’euros… en euros, pas en dollars, bien entendu…
Rappelons-nous tout de même le récent rapport de la Cour des comptes de l’Union européenne, pourtant particulièrement inspirée par des vues européistes, qui s’est montré d’une très grande sévérité sur la corruption gouvernementale en Ukraine.
Voulez-vous un impôt pour financer une guerre sans fin ?
Nous, nous ne voulons ni un impôt de guerre, ni un nouvel impôt européen.