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L’UE a accordé à la Gambie plus de 300 millions d’euros d’aide au développement depuis 2014

Jean-Lin Lacapelle, à propos de l’aide au développement versées à la Gambie

L’UE a accordé à la Gambie plus de 300 millions d’euros d’aide au développement depuis 2014. Pourtant ce pays a décidé de ne plus accepter ses ressortissants expulsés de l’UE.
Ces aides financières doivent être accompagnées de contreparties en matière migratoire !

Intervention complète de Jean-Lin Lacapelle

Chers amis,

L’Union européenne est définitivement incapable de contrôler nos frontières et de défendre les intérêts démographiques et migratoires des peuples d’Europe.

Dernier exemple emblématique de ce naufrage : la Gambie, pays d’Afrique de l’Ouest de la taille d’un département français, qui a décidé de ne plus accepter ses ressortissants expulsés de l’Union européenne.

Et, comme à son habitude, l’Union européenne a reçu avec légèreté cette grave provocation, envisageant seulement de rendre plus difficile l’acquisition de visas pour les ressortissants de Gambie.

Le nain gambien a donc mis à genoux le géant européen.
Ce n’est pas une nouveauté : rappelons-nous la fin de non-recevoir que nous ont adressée le Maroc et l’Algérie lorsqu’il avait été question d’expulser leurs ressortissants radicalisés présents en France.

Le Rassemblement national a une solution pour forcer la main des États qui refusent de coopérer avec nous : cette solution, c’est de mettre fin à toute aide financière que nous leur accordons !

La Gambie a reçu, entre 2014 et 2021, plus de 300 millions d’euros d’aide au développement de la part de l’UE, dont 18,5 millions en 2019 issus des caisses de l’État français.

Même situation avec l’Algérie, qui a reçu plus de 217 millions d’euros de la France depuis 2000.

Comment pouvons-nous continuer à verser ces aides alors même que ces pays refusent, au mépris de leur propre droit, de récupérer leurs ressortissants ayant enfreint nos lois ?

Il est temps d’avoir la volonté politique de conditionner toutes nos aides financières dans le cadre de négociations diplomatiques, et, surtout, le courage de les supprimer en cas de non-respect de nos conditions.

De la même manière, la taxation des transferts de fonds et la suspension des visas peuvent être un moyen de pression complémentaire.

L’Union européenne a besoin d’une politique migratoire stricte, et de dirigeants qui défendent nos intérêts avec fermeté.

Et seuls le Rassemblement national et Marine Le Pen peuvent incarner ce changement salutaire !

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