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Qatargate : je dénonce la corruption de l’UE par l’argent du Qatar

Au Parlement européen, après la détention de 4 personnes, le Qatargate connaît une nouvelle étape avec la démission de la présidente socialiste de la commission droits de l’homme.

Comptez sur notre vigilance et notre ténacité pour dénoncer cette gangrène de la corruption à Bruxelles !

Interventions de Jean-Lin Lacapelle, Député Français au Parlement européen.

« Comment un petit Émirat de 2 millions et demi d’habitants, à peine plus grand qu’un département français, peut-il dans certaines circonstances faire régner sa loi dans un Parlement représentant près de 450 millions de personnes ?

Par le biais d’un seul mot : la corruption, à grande échelle.

Favorisée par la vénalité véreuse et l’hypocrisie de plusieurs de ses élus.

Au premier rang desquels, comme à l’accoutumée, les tartuffes moralisateurs socialistes !

Au Parlement européen, après la mise en détention de 4 personnes, dont une vice-présidente, le Qatargate connaît une nouvelle étape avec la démission de la présidente de la sous-commission des droits de l’homme, la socialiste belge Maria Arena. Qui aurait notamment « omis » de déclarer un voyage tous frais payés au Qatar…

Mise en cause, depuis, avec son compère belge du groupe socialiste, Marc Tarabella.

Arena et Tarabella, qui jusqu’ici se targuaient d’avoir comme principal fait d’armes une opposition résolue au Groupe Identité et démocratie et au Rassemblement national…

Comme le disait Enrico Macias, le Front national, le Rassemblement national portent la scoumoune à leurs adversaires…

Mais on pourrait également s’interroger sur l’inaction totale de la Commission INGÉ, chargée pourtant de traquer les tentatives d’ingérence des pays tiers dans les instances de l’Union européenne.

Son président, l’éternel chevalier blanc Raphaël Glucksmann, a toujours montré son hostilité à ouvrir un quelconque champ d’investigation à propos du Qatar.

En matière d’ingérence, il est vrai que ce dernier est un orfèvre, lui qui fut le serviteur zélé d’un régime géorgien dont on peut dire qu’il ne fut pas un modèle en matière de respect de l’État de droit.

De même, nous ne lâcherons pas la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, sur son éventuelle implication sur les mirobolants contrats avec Pfizer.

Comptez sur nous, sur notre vigilance, notre ténacité, pour dénoncer cette gangrène de la corruption qui apparaît chaque jour plus importante, à Strasbourg, à Bruxelles. »

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